Certains comportements ont été incriminés par le législateur pénal. Il prévoit chaque infraction suivie de leur sanction. L'une de ces infractions économiques est la corruption et le blanchissement d'argent. Ces infractions sont fréquentes dans les administrations. La sanction prévue à leur titre permet heureusement de décourager certains acteurs de l'administration. Quelles sont les méthodes de lutte prévues pour décourager la corruption et le blanchiment d'argent ? Lisez cet article.
L'institution des organismes de surveillance
Pour lutter contre la corruption et le blanchiment d'argent, il y a plusieurs méthodes qui ont été adoptées. Certaines méthodes ont une fin préventive telle que l'institution de certains organismes. Vous visitez le site web pour en savoir plus sur ces organismes. Leur mission est de surveiller toutes les activités économiques et financières dans les administrations. Ce sont souvent les occupants de grands postes qui sont coupables de corruption et de blanchiment d'argent. Ainsi, les organismes de surveillance contrôlent tous leurs faits et gestes. Si l'un de ces organismes découvre ou soupçonne une malversation ou un acte qualifié de corruption, il signale aux autorités judiciaires. Ces autorités engageront ensuite des enquêtes pour vérifier la véracité des faits. S'il y a assez de preuve pour accuser les présumés délinquants, ces derniers seront incassérés. Dans le cas contraire, ils seront relâchés, mais ils demeurent toujours sous la surveillance de ces organismes.
L'adoption de certaines lois de dissuasion
L'autre méthode est du fait du législateur. Ce dernier a voté des lois spéciales qui portent sur les infractions de corruption et de blanchiment d'argent. Il faut avouer que c'est légitime et tant mieux pour les sociétés, car le blanchiment d'argent et la corruption constituent des sources du sous-développement de plus d'un État. Si l'argent public n'est pas bien utilisé, l'auteur se verra appliquer les sanctions prévues par ces lois. Cette mesure législative réduira sans doute la fréquence de la corruption dans les pays pour leur permettre ainsi de connaître un essor normal.